Tout le contenu

[Vidéo] L’adolescence à l’image de l’enfance

Un entretien (03:05) avec Bernard Golse, pédiatre, pédopsychiatre et psychanalyste, qui revient sur ce qui se rejoue de la petite enfance à l'adolecsence.
Comme par exemple l'importance du groupe à l'adolescence qui relève de la même nécessité de contenance, d'enveloppes nécessaires au bébé pour se sentir en sécurité. Un autre exemple est celui de l'angoisse de séparation, de différenciation vis à vis de l'autre. Lorsque le bébé "attaque" les objets, il vérifie leur résistence, de la même manière l'adolescent teste ses parents pour en vérifier leur solidité.

 

[Vidéo] Comment concilier les temporalités de l’enfant et des parents en cas de vulnérabilité parentale ?

Sylvain Missonnier (04:15) aborde la notion du temps dans les familles fragilisées. Lorsque des difficultés (chômage, dépression...) surgissent au sein d'une famille, un des premiers dérèglements qui survient est sa capacité d'organiser le temps. Anticiper les événements, planifier... devient trop compliqué. Or, pour les enfants, le fait de pouvoir s'appuyer sur un quotidien stable, dont ils peuvent anticiper le déroulement, est très important, structurant. 

[Vidéo] Qu’est-ce qu’un parent sécurisant pour son enfant ?

Un entretien avec Sylvain Missonnier (02:26), professeur de psychologie clinique de la périnatalité réalisé lors du 7e congrès européen de l’AEPEA  (link is external) "Corps à corps. Souffrances du corps et travail psychique chez le bébé, l’enfant, l’adolescent, la famille et les soignants" tenu à Bruxelles en mai 2014.

[Vidéo] Résidence alternée dans un domicile unique : quels bénéfices pour l’enfant ?

Sylvain Missionnier, psychologue clinicien, interroge le mode de garde qui consiste à laisser l'enfant dans un domicile unique et à faire bouger ses parents. Dans certaines situations très conflictuelles, la mise en place d'une telle solution témoigne de la possibilité pour les parents d'un décentrage de leurs propres besoins pour véritablement s'identifier à leur enfant. Mais, ce n'est alors plus l'ordre, la géographie parentale qui gouverne mais bien celle de l'enfant... Les conséquences à long terme, pour l'enfant, d'une telle inversion générationnelle sont à interroger. 

[Vidéo] Le nourrisson investit plusieurs figures d’attachement

Un entretien avec Sylvain Missonnier (02:25), professeur de psychologie clinique de la périnatalité, réalisé lors du 7e congrès européen de l’AEPEA "Corps à corps. Souffrances du corps et travail psychique chez le bébé, l’enfant, l’adolescent, la famille et les soignants" tenu à Bruxelles en mai 2014.

Si le nourrisson investit plusieurs figures d'attachement : parents, nounou, grands parents... il a besoin que l'une d'entres-elles constitue son port d'attache. "L'enfant a besoin d'une personne qui orchestre l'intendance entre tous ses gardes du corps". Cette personne "fil rouge" joue un rôle...

[Vidéo] Les enfants de migrants, passer d’une langue à l’autre

Marie Rose Moro (06:29), professeur de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent, explique que les enfants qui grandissent en contexte de migration doivent bien souvent jongler entre deux langues : celle parlée à l'école et celle parlée à la maison. Pour une partie d'entre eux, cet apprentissage se révélera être une véritable source de plaisir : en découvrant une nouvelle langue, ils découvrent un nouvel univers.  Pour les enfants, [Lire la suite

[Vidéo] On ne porte pas les bébés de la même manière partout

Marie Rose Moro (6:09), psychiatre, décrit les différences de portage selon les cultures et leurs impacts sur le mode relationnel qui s'instaure entre le bébé et son parent. Dans les sociétés où le bébé est porté directement par le corps de la maman, la manière de porter est tonique et interactive. Dans les sociétés dites "avec berceau", le portage à distance soutient davantage la relation visuelle et orale.  

[Vidéo] Diversité culturelle et éducation de l’enfant

Marie Rose Moro (04:18), pédopsychiatre, attire notre attention sur la nécessite de prendre en compte la diversité culturelle qui est une donne essentielle dans nos sociétés. Cette diversité se traduit  dans les pratiques qui entourent la grossesse, la naissance l’allaitement, les soins, le portage mais aussi la transmission d'un rapport au monde, de valeurs...

[Vidéo] L’allaitement, une pratique culturelle ?

Nos référents culturels inscrivent l’allaitement dans une relation dyadique mère–enfant, alors que par exemple, certaines cultures font du sevrage un acte collectif. Marie-Rose Moro, psychiatre, évoque les diversités culturelles et historiques en matière d'allaitement et de sevrage. 

[Vidéo] La fessée, pratique éducative culturelle ?

En référence à la "fessée", Marie Rose Moro, expose en quoi une situation familiale ne peut être analysée sous le seul prisme d'un comportement jugé socialement inadmissible, à un moment donné, mais se doit d'être replacée dans un contexte plus large, y compris culturel.

Le co dodo, une pratique culturelle ?

Un entretien avec Marie Rose Moro (05:43), professeur de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent à l' Université Paris Descartes, réalisé lors du  7e congrès européen de l’AEPEA  "Corps à corps. Souffrances du corps et travail psychique chez le bébé, l’enfant, l’adolescent, la famille et les soignants" tenu à Bruxelles en mai 2014.

[Vidéo] Café philo avec le livre "Une vie de chien ?"

Une institutrice témoigne de l'utilisation du livre "Une vie de chien ?" dans son école lors d'un café philo. Dans ca cadre, l'outil a permis aux enfants de s'exprimer sur des thèmes de leur quotidien et d'ouvrir à des questions parfois insoupçonnées.

 Imprimer la page