[Livre] Sa préférée
Le silence qui entoure les situations de maltraitance sidère tout un chacun. Comment comprendre qu’on puisse rester sourd et aveugle face à un enfant maltraité ?
Le silence qui entoure les situations de maltraitance sidère tout un chacun. Comment comprendre qu’on puisse rester sourd et aveugle face à un enfant maltraité ?
Un entretien avec Catherine Belzung (02:40), biologiste.
Catherine Belzung, biologiste, explique que trois facteurs influencent la variabilité de l'émotivité, de la peur chez un enfant : le patrimoine génétique, le facteur environnemental (prénatal et postnatal, physique et psychologique), mais aussi et surtout l'interaction entre les gènes et l'environnement. Cette subtile combinaison va produire des effets tant bénéfiques que néfastes sur la personnalité de l'enfant.
A ce titre, les ateliers sont l'occasion pour l'enfant d'éprouver un contexte environnemental favorable à la mise en lumière, la mise en jeu et l'expérimentation d'émotions.
Un entretien avec Catherine Belzung (01:43), biologiste.
Un entretien avec Catherine Belzung (06:18), biologiste.
Un entretien avec Catherine Belzung (04:43), biologiste.
Un entretien avec Catherine Belzung (04:18), biologiste.
Catherine Belzung (05:54), biologiste, explique que pour que les effets biologiques de la maltraitance sur le cerveau (impact sur certaines zones cérébrales telles le cortex préfrontal...) ne se transmettent pas d'une génération à une autre, l'idéal est de pouvoir agir sur la première génération, celle qui est maltraitée dans l'ici et maintenant. Une étude longitudinale (qui suit les enfants tout au long de leur développement [Lire la suite]
Un entretien avec Catherine Belzung (03:22), biologiste.