[Vidéo] Lorsqu’un collègue se répand sur une situation de maltraitance à tort et à travers
Un entretien avec Claire Meersseman (04:08), psychologue clinicienne.
Un entretien avec Claire Meersseman (04:08), psychologue clinicienne.
Un entretien avec Claire Meersseman (03:22), psychologue clinicienne.
Un entretien avec Claire Meersseman (02:53), psychologue clinicienne.
Un entretien avec Claire Meersseman (03:45), psychologue clinicienne.
Claire Meersseman (03:45), psychologue clinicienne explique que l'intervenant sportif est souvent proche de l'enfant, il le voit régulièrement, le connait bien. Cette relation convoque également les enjeux du corps. Cette place particulière de l'intervenant peut l'amener à recevoir les confidences de l'enfant ou être le témoin de signes d'inquiétude. Lorsque cela arrive, il est important de ne pas rester seul, de pouvoir en parler [Lire la suite]
Claire Meersseman (05:30), psychologue clinicienne explique combien dans la plupart des situations de suspicion de maltraitance, même si c'est souvent difficile pour les intervenants qui entourent l'enfant, le temps est un allié précieux. Le travail en réseau (avec les collègues, la direction, des équipes spécialisées telles SOS enfants, les autres lieux de vie de l'enfant...) permettra de penser à ce qui peut être mis en place pour cet enfant, cette famille. Egalement, en partageant les inquiétudes autour de la souffrance de l'enfant avec ses parents, cela leur permet dans certains cas de s'...
Dans des situations d'inquiétude pour un enfant, il ne faut jamais rester seul en tant que professionnel, rappelle Claire Meersseman (04:16), psychologue clinicienne. Si je suis dans une école, je peux échanger, parler de mes inquiétudes avec mon équipe, ma direction, le PMS, le PSE pour penser à ce qui peut être fait pour venir en aide à cet enfant en souffrance, à cette famille. Faire appel à une équipe plus spécialisée ou qui a simplement plus l'habitude [Lire la suite]