[Vidéo] Déni de grossesse et défaut de parole.

Un entretien avec Sophie Marinopoulos (04:00), psychologue, psychanalyste. 

Les dénis de grossesse témoignent, entre autres, d’une difficulté à rester solidaire dans les cas de maternité à risque. Confronté à une femme qui semble enceinte et qui s’enferme dans le silence, le réflexe familial voire social consiste le plus souvent à s’adresser à un tiers (médical, justice..), soit à dénoncer. Le silence de l’entourage ainsi que le silence social signent un défaut de parole et une difficulté à être ensemble quand l’image de la mère idéalisée est mise à mal.

D’un point de vue individuel, s’adresser en direct à ces femmes, partager l’inquiétude à son égard, proposer un soutien… offrent des portes pour lever le silence et le déni.

D’un point de vue collectif, la prévention doit ouvrir à la connaissance et la reconnaissance de cette réalité par les professionnels de la santé, les professionnels en général et le grand public.

Cette vidéo est disponible au format mp4. Vous pouvez la télécharger afin de la visionner hors ligne ou de la graver sur un DVD. Télécharger la vidéo

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