On ne protège pas les enfants lorsqu’on réprime leur curiosité envers les choses du sexe. Au contraire, on encourage les enfants à penser que «cela» doit rester un secret. Et c’est justement la raison pour laquelle les pédo-criminels peuvent agir aussi facilement : il leur suffit de jouer sur l’idée du pacte, d’un lien privilégié qui les relie à leur proie (moi seul suis capable de comprendre tes interrogations, viens dans mes bras, je vais t’expliquer). Il leur suffit ensuite de brandir la menace d’une punition familiale (si tu racontes ce que NOUS avons fait ensemble, tes parents vont te gronder) et le piège se referme. Difficile pour l’enfant de s’en sortir tout seul. Lire tout l'article sur Les 400 culs / Les blogs de Libération