Ecrans

[Vidéo] Cyberharcèlement et phobie scolaire ?

Le cyberharcèlement peut entrainer, comme l'explique Angélique Gozlan (01:42) des pathologies telles que la dépression, ou encore la phobie sociale ou scolaire. Dans ce dernier cas de figure, l'adolescent généralise sa peur de l'agresseur à l'ensemble du système scolaire. Cela se produit généralement lorsque le corps enseignant n'a pas vu ou pas considéré cette problématique et a laissé l'adolescent seul face à sa difficulté. Ce qui provoque chez ce dernier un sentiment d'insécurité massif et l'empêche d'affronter son angoisse.

[Vidéo] Cyber harcèlement : devenir acteur de violence pour y échapper

Angélique Gozlan, psychologue clinicienne, évoque le manque d'assurance et de confiance en soi de la part de nombreux harceleurs qui, dans une vision clivée du monde, recourent à des actes de harcèlement par peur d'en être vicitmes.  Il y a d'autres situations où l'auteur a été victime par le passé et cherche à se faire une nouvelle place, un nouveau statut plus "prestigieux' dans la communauté.  (02:12)

[Vidéo] Cyber harcèlement : enjeux virtuels, enjeux réels

La toile est un espace où l'absence de présence physique entre les individus donne l'impression d'une irréalité, et provoque une levée des inhibitions explique Angélique Gozlan, psychologue clinicienne (02:23).Ce qui peut entrainer et pousser les individus à des déferlements de haine. Mais, les conséquences sur les personnes sont bien réelles.  

 

[Vidéo] Adolescence : l'ennui et l'écran

Un entretien avec Sophie Marinopoulos (04:02), psychologue, psychanalyste. 

La majorité des adolescents passent beaucoup de temps sur les écrans. Or, pour chacun d'eux, le sens et la place qu'ils occupent dans leur vie est différente. 

Certains les utilisent comme support à la création (réalisation de vidéo, création de jeux...), à la relation. Pour d’autres, l’écran comble un vide, et vient signifier une difficulté à être. L’écran devient le refuge pour sortir de la solitude, d’une sensation de gouffre. 

[Vidéo] Ecrans et hyperactivité

Patricia Baguet (3:39), explique comment les écrans provoquent une agitation psychique et en particulier chez les jeunes enfants. En effet, ils n'ont pas encore l'équipement neurologique nécessaire pour résister au trop plein de stimulations générés. Et cela peu importe le contenu. Il est donc vivement conseillé de ne pas mettre les enfants de moins de 3 ans devant un écran. Par la suite, leur utilisation sera progressive, toujours accompagnée et adaptée à l'âge de l'enfant.  

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