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[Vidéo] Comment expliquer que certains enfants sont plus émotifs, plus peureux… que d’autres ?

Catherine Belzung, biologiste, explique que trois facteurs influencent la variabilité de l'émotivité, de la peur chez un enfant : le patrimoine génétique, le facteur environnemental (prénatal et postnatal, physique et psychologique), mais aussi et surtout l'interaction entre les gènes et l'environnement. Cette subtile combinaison va produire des effets tant bénéfiques que néfastes sur la personnalité de l'enfant.
A ce titre, les ateliers sont l'occasion pour l'enfant d'éprouver un contexte environnemental favorable à la mise en lumière, la mise en jeu et l'expérimentation d'émotions.

[Vidéo] Comment pallier aux conséquences des maltraitances infantiles sur les générations suivantes ?

Catherine Belzung (05:54), biologiste et docteure en neurosciences, explique que pour que les effets biologiques de la maltraitance sur le cerveau (impact sur certaines zones cérébrales telles le cortex préfrontal...) ne se transmettent pas d'une génération à une autre, l'idéal est de pouvoir agir sur la première génération, celle qui est maltraitée dans l'ici et maintenant. Une étude longitudinale (qui suit les enfants tout au long de leur développement [Lire la suite] 

[Vidéo] Quelles sont les répercussions des maltraitances infantiles sur les générations suivantes ?

Catherine Belzung (03:22), biologiste, docteure en neurosciences expliquent que les recherches ont montré une transmission de certaines altérations sanguines et cérébrales entre des parents ayant subi des maltraitances étant enfants (et n'étant pas maltraitants eux-mêmes) et leurs propres enfants. Ces altérations se retrouvent notamment [Lire la suite

[Vidéo] Impact des maltraitances sur l’enfant : que nous apprennent les connaissances actuelles sur les conséquences biologiques à long terme ?

Catherine Belzung (05:58), biologiste et docteure en neurosciences, fait état des conséquences biologiques de la maltraitance sur le développement de l'enfant. Soumis à de grands stress, son cerveau produit beaucoup d'hormone du stress (notamment le cortisol) et de marqueurs d'inflammation. Cela a pour conséquence de modifier le volume de certaines régions du cerveau [Lire la suite]

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