[Vidéo] La parole de l’enfant, une notion de droit ?
Un entretien avec Anne-Catherine Rasson (04:11), docteure en droit, chargée d'enseignements et chercheuse à l'UNamur et à l'UCLouvain Saint-Louis Bruxelles.
Un entretien avec Anne-Catherine Rasson (04:11), docteure en droit, chargée d'enseignements et chercheuse à l'UNamur et à l'UCLouvain Saint-Louis Bruxelles.
Un entretien avec Anne-Catherine Rasson (06:47), docteure en droit, chargée d'enseignements et chercheuse à l'UNamur et à l'UCLouvain Saint-Louis Bruxelles.
La notion d'intérêt de l'enfant est une notion de droit, instituée dans la constitution belge, déplie Anne-Catherine Rasson (03:28). Cela signifie que, dans toute décision qui concerne l'enfant, son intérêt supérieur est primordial. Toutefois, si éthiquement, philosophiquement, sa valeur est indéniable, cette notion reste très floue car peu définie concrètement. Il arrive donc que [lire la suite]
Un entretien avec Anne-Catherine Rasson (05:19), docteure en droit, chargée d'enseignements et chercheuse à l'UNamur et à l'UCLouvain Saint-Louis Bruxelles.
Un entretien avec Anne-Catherine Rasson (07:24), docteure en droit, chargée d'enseignements et chercheuse à l'UNamur et à l'UCLouvain Saint-Louis Bruxelles.
Un entretien avec Anne-Catherine Rasson (06:04), docteure en droit, chargée d'enseignements et chercheuse à l'UNamur et à l'UCLouvain Saint-Louis Bruxelles.
Un entretien avec Anne-Catherine Rasson (04:12), docteure en droit, chargée d'enseignements et chercheuse à l'UNamur et à l'UCLouvain Saint-Louis Bruxelles.
Anne-Catherine Rasson (03:11), docteure en droit, décortique la notion polysémique d'intérêt de l'enfant en redonnant le sens premier de son usage à titre de guide, de boussole, [lire la suite]
Un entretien avec Catherine Belzung (02:40), biologiste.
Un entretien avec Catherine Belzung (01:43), biologiste.
Catherine Belzung, biologiste, explique que trois facteurs influencent la variabilité de l'émotivité, de la peur chez un enfant : le patrimoine génétique, le facteur environnemental (prénatal et postnatal, physique et psychologique), mais aussi et surtout l'interaction entre les gènes et l'environnement. Cette subtile combinaison va produire des effets tant bénéfiques que néfastes sur la personnalité de l'enfant.
A ce titre, les ateliers sont l'occasion pour l'enfant d'éprouver un contexte environnemental favorable à la mise en lumière, la mise en jeu et l'expérimentation d'émotions.
Un entretien avec Catherine Belzung (06:18), biologiste.
Un entretien avec Catherine Belzung (04:43), biologiste.
Un entretien avec Catherine Belzung (04:18), biologiste.
Catherine Belzung (05:54), biologiste, explique que pour que les effets biologiques de la maltraitance sur le cerveau (impact sur certaines zones cérébrales telles le cortex préfrontal...) ne se transmettent pas d'une génération à une autre, l'idéal est de pouvoir agir sur la première génération, celle qui est maltraitée dans l'ici et maintenant. Une étude longitudinale (qui suit les enfants tout au long de leur développement [Lire la suite]
Un entretien avec Catherine Belzung (03:22), biologiste.
Catherine Belzung (05:58), biologiste fait état des conséquences biologiques de la maltraitance sur le développement de l'enfant. Soumis à de grands stress, leur cerveau produit beaucoup d'hormone du stress (notamment le cortisol) et de marqueurs d'inflammation. Cela a pour conséquence de modifier le volume de certaines régions du cerveau [Lire la suite]
Un entretien avec Claire Meersseman (04:08), psychologue clinicienne.
Un entretien avec Claire Meersseman (03:22), psychologue clinicienne.
Un entretien avec Claire Meersseman (02:53), psychologue clinicienne.
Un entretien avec Claire Meersseman (03:45), psychologue clinicienne.
Claire Meersseman (03:45), psychologue clinicienne explique que l'intervenant sportif est souvent proche de l'enfant, il le voit régulièrement, le connait bien. Cette relation convoque également les enjeux du corps. Cette place particulière de l'intervenant peut l'amener à recevoir les confidences de l'enfant ou être le témoin de signes d'inquiétude. Lorsque cela arrive, il est important de ne pas rester seul, de pouvoir en parler [Lire la suite]
Claire Meersseman (05:30), psychologue clinicienne explique combien dans la plupart des situations de suspicion de maltraitance, même si c'est souvent difficile pour les intervenants qui entourent l'enfant, le temps est un allié précieux. Le travail en réseau (avec les collègues, la direction, des équipes spécialisées telles SOS enfants, les autres lieux de vie de l'enfant...) permettra de penser à ce qui peut être mis en place pour cet enfant, cette famille. Egalement, en partageant les inquiétudes autour de la souffrance de l'enfant avec ses parents, cela leur permet dans certains cas de s'...
Dans des situations d'inquiétude pour un enfant, il ne faut jamais rester seul en tant que professionnel, rappelle Claire Meersseman (04:16), psychologue clinicienne. Si je suis dans une école, je peux échanger, parler de mes inquiétudes avec mon équipe, ma direction, le PMS, le PSE pour penser à ce qui peut être fait pour venir en aide à cet enfant en souffrance, à cette famille. Faire appel à une équipe plus spécialisée ou qui a simplement plus l'habitude [Lire la suite]