Professionnels

[Vidéo] Inceste : comment respecter le temps de la parole de l’enfant ?

En cas d'inceste, Françoise Hoornaert, psychologue clinicienne au sein d’une équipe SOS Enfants invite à prendre en compte la parole de l’enfant en respectant sa temporalité. La priorité donnée à la protection de l’enfant nous guide en tant qu’adulte. Toutefois, la confidence d’un enfant s’inscrit toujours dans une relation de confiance sécurisante créée avec un adulte qui lui a accordé une attention ; ce lien particulier dont l’enfant se saisit pour dire son vécu, [Lire la suite]

[Vidéo] En quoi le silence autour de l’inceste emprisonne l’enfant ?

Aujourd'hui, la mise en lumière de l’inceste par le social n’en fait plus un sujet tabou, explique Françoise Hoornaert (02:52), psychologue clinicienne. Mais dans la singularité des situations, le silence se situe entre l'enfant et l'abuseur et se propage dans la sphère familiale (où certains sont au courant mais n'agissent pas). Le silence de l'enfant peut exister pour différentes raisons. Dans certaines familles, [Lire la suite]

[Vidéo] Comment comprendre qu’un enfant ne parle pas de l’inceste qu’il subit ?

Dans l'inceste, il existe un lien d'attachement avec l'adulte (ou un plus grand) maltraitant, et l'enfant ne remet pas en question ce lien, il est loyal à ce parent et ce peu importe ce qu'il se passe rappelle Françoise Hoornaert (03:09), psychologue clinicienne, coordinatrice de l’équipe SOS Parents-Enfants de Tournai 
Avant 5 ans, l'enfant ne perçoit pas que son modèle familial est "unique" que ca ne se passe pas de la même dans toutes les familles, il identifie [Lire la suite]

[Vidéo] Parler aux enfants des questions difficiles de la vie : un impératif soumis à conditions ?

Vanessa Greindl (05:52), psychologue clinicienne, aborde la nécessité de parler avec les enfants des questions difficiles de la vie. Parler de la mort, de la maladie, d'une séparation... aux enfants est un indispensable car les mots sont comme des ponts : ils permettent à la fois de mettre de la distance avec l'événement difficile et paradoxalement de mieux l'appréhender. Quand on parle, qu'on exprime, qu'on échange [Lire la suite]

Fight for Kisses

L’univers du Net nous propose un version virtuelle du complexe d’ oedipe, interprétée par un « dancing baby » , ce personnage du bébé, à l’image de l’adulte aux surcompétences motrices.

 

"Papa, je vais le dire à maman", ou la destitution des pères

Diane Drory, psychanalyste Affiches massives le long des autoroutes, spot publicitaire à la Une, oui, le ton est donné, on officialise l'autorité enfantine : "Papa, mets ta ceinture ou je vais le dire à maman." Fini pour l'enfance ce temps joyeux et insouciant où l'on préconisait aux parents d'être les guides de la génération montante. Force est de constater que le rôle des générations s'y retrouve raboté, voire même inversé. 

Réflexions autour de la journée Internationale des droits de l'enfant

1. Point de vue Un article supplémentaire aux Droits de l'Enfant ? Le droit d'être guidé, cadré, limité... Cet article est paru dans Le Soir du 19 novembre 2007. Ah que c'est dur d'être adulte quand on s'appelle « la Convention internationale des droits de l'enfant » ! Cette année, en effet, cette importante charte fêtera ses dix-huit ans. La Convention est désormais majeure. Ça lui donne sans doute de nouveaux droits. Mais aussi peut-être, des nouveaux devoirs... [lire la suite] 2. Récréation... A l'occasion de la journée internationale des droits de l'enfant, Jean Dell et Yapaka.be vous...

La face cachée de la violence des jeunes

Régulièrement, les médias mettent à la une des
actes de violence agis par des mineurs : faits divers de vols,
insultes, rackets, incendies, meurtres…. Non objectivée, la violence
des jeunes est présentée comme explosive mettant en danger la sécurité
publique. En tant que professionnels, nous sommes touchés par l’impact
de ce sentiment d’insécurité nourrit par la peur de jeunes.

La disparition du certificat de bonne vie et mœurs

La presse s’est récemment fait l’écho d’émotions concernant
l’annulation de l’obligation pour les personnes travaillant avec les
enfants de produire un certificat de bonne vie et mœurs.

La Ligue des droits de l’Homme est notamment à l’origine de cet arrêt.
Nous avons demandé à Manuel Lambert, Conseiller juridique de Ligue des droits de l’Homme, de nous éclairer sur cette question.

Comme à l’accoutumée, notre rubrique débat est ouverte à vos réactions

 

 Imprimer la page