Fonctions parentales

Thématique(s) liée(s)

[Livre] Homoparentalités

Numéro de collection: 
50

Ce livre a pour but de tirer au clair certaines questions sur l’homosexualité et l’homoparentalité. Les questions suivantes se posent dans le cadre de ces nouvelles constellations familiales : Qu’est-ce qui constitue l’homosexualité ? Comment comprendre que des homosexuels ont le désir d’avoir des enfants ? Que sait-on de la vie des enfants grandissant avec des parents homosexuels ? Qu’en est-il de la différence des sexes pour eux ? Ce livre est uniquement disponible en téléchargement (version pdf et epub).

[Livre] Parents défaillants, professionnels en souffrance

Numéro de collection: 
44

Confrontés aux troubles graves de la parentalité qui mettent l'enfant en danger tant psychiquement que physiquement, les professionnels impliqués dans la protection de l'enfance sont déstabilisés et vivent des mouvements émotionnels intenses. A la souffrance des enfants et des parents, fait écho la souffrance des professionnels. L'impact désorganisateur de la psychopathologie familiale sur le fonctionnement des équipes est encore trop largement sous-estimé et trop peu de soutien leur est apporté. Connaître et reconnaître cette souffrance au travail est indispensable afin de prévenir le « burn out » chez les intervenants et des dysfonctionnements graves dans les prises en charge des enfants et de leur famille.

Dès à présent disponible en librairie, en Belgique et en France. Ce livre reste disponible en téléchargement (version pdf et epub).

[Livre] La fonction parentale

Auteur: 
Numéro de collection: 
24

Pierre Delion, psychiatre analyse les mécanismes psychiques et affectifs à l'œuvre chez tout parent en devenir pour répondre aux besoins de son enfant. Partant de la subjectivité de chaque parent et de l'intimité du couple, la fonction parentale relève aujourd'hui de plus en plus de l'ordre public comme élément normatif de socialisation de l'enfant.

[Vidéo] Parler aux enfants des questions difficiles de la vie : un impératif soumis à conditions ?

Vanessa Greindl (05:52), psychologue clinicienne, aborde la nécessité de parler avec les enfants des questions difficiles de la vie. Parler de la mort, de la maladie, d'une séparation... aux enfants est un indispensable car les mots sont comme des ponts : ils permettent à la fois de mettre de la distance avec l'événement difficile et paradoxalement de mieux l'appréhender. Quand on parle, qu'on exprime, qu'on échange [Lire la suite]

[Audio] "Le déni de grossesse" (Partie questions)

Enregistrement de Sophie Marinopoulos.

Psychologue clinicienne et psychanalyste, Sophie Marinopoulos exerce à l’Hôpital Mère Enfants du CHU de Nantes. Engagée dans la reconnaissance de la santé psychique comme faisant partie intégrante des questions de santé publique, elle est fondatrice de l’association pour la Prévention et la Promotion de la Santé Psychique (PPSP). Elle est l’auteur de nombreux livres dont Le corps bavard, Fayard, 2007, Dans l'intime des mères, Fayard, 2005

[Film] Classes vertes

Film de fiction

Jonathan, 7 ans, fait sa valise. Demain il part en classes vertes avec l'école. Mais sa maman nʼa pas envie quʼil parte. Et l'amour d'une maman, c'est bien connu, ça peut faire des ravages…

Un court métrage admirablement réalisé qui pourrait être montré en amorce de discussions en équipe, de formations,...

Maman et moi

A l'occasion d'un article sur l'attachement, la dernière couverture du Time qui met en scène Jamie Lynne Grumet, allaitant son fils de 3 ans,  suscite un vif débat

Qu'en pensez-vous ?

Sujet est éternel s'il en est...

Coup de mots, coup de couteau

Extrait du livre : "Une vie de chien ?". C’est vrai qu’une parole peut faire très mal. Il m’a traité de nain! Il faut vraiment être mal dans sa peau pour être si méchant. Je suis trop nul, je ne vaux rien. Est ce que tu crois que ce qu’il dit de toi est vrai ? J’avais envie de disparaître. Excuse-moi : je ne m’en rendais pas compte. Elle a dit que j’avais triché et ce n’est même pas vrai! Parfois, on y repense encore longtemps après. Arrête! Je n’aime pas quand tu dis ça ! Dis lui que ça te fait de la peine. Elle m’enfonce tout le temps.  Devant tout le monde, en plus!  

La violence?

Il y a un grand qui me fait peur… Je serais plus tranquille si j’étais sûr que tu ne rentres pas tout seul de l’école. Si je le dénonce, il va se venger… Si je me tais, il va peut être me laisser tranquille? Défends-toi autrement. Les garçons sont plus violents que les filles. Si quelqu’un te menace, demande toujours de l’aide à un adulte. Mais c’était seulement pour jouer. Vous allez finir par vous faire mal. Y en a qui sont méchants «exprès». C’est pas moi, c’est elle qui a commencé.

Quand les enfants disent la loi

Jean De Munck, professeur de sociologie à l’UCL

Tout le monde a vu et (déjà) commenté la nouvelle campagne pour le port de la ceinture de sécurité. Un(e) enfant, porteur(se) d’une ceinture y apparaît sur l’affiche, disant avec un sourire : « papa, attache-toi ou je le dis à maman ! ». A ce sujet, l’opinion de Diane Drory (LLB, 10 octobre) est tranchée : « humiliation des pères, adultisation de l’enfant, brouillage des places ».

A la jonction de deux lignées

De nos jours, il arrive de plus en plus souvent que quatre, parfois cinq générations coexistent dans les familles. Et que dire des familles recomposées? Il arrive qu’un enfant ait quatre "grand-parents" du côté de sa maman et pareil du côté de son père. Ça fait beaucoup de liens différents au sein d’une même famille: les liens de sang et les liens affectifs qui se croisent, s’entrecroisent et se tressent…

Avoir honte de sa violence

Cet homme, fin observateur des relations parents/enfants, a utilisé le terme de "mères suffisamment bonnes" pour souligner qu’il était illusoire d’être parfait avec ses enfants: les sentiments positifs et négatifs s’entrecroisent, se mélangent ou se succèdent. L’agressivité est une composante incontournable des relations, même les plus douces et les plus aimantes. Ne pas le reconnaître, c’est risquer de se faire rattraper par elle, sans que l’on ne puisse ni contrôler ni maîtriser ses manifestations. "Je ne sais pas ce qui m’a prise, je n’ai pas pu me retenir, disait une mère après avoir...

De l´enfant rêvé à l´enfant réel

"Mathias ne veut plus venir dans mon lit pour les câlins du dimanche matin. Il préfère la télé et ses Pokémon!" On retient ce qu´on veut bien. Avec le temps, on ne garde parfois que le meilleur. Au fond, est-ce que tout était si parfait? Les parents qui en sont encore au stade des couches et des nuits entrecoupées ont sans doute un autre avis. Peut-être sont-ils eux-mêmes nostalgiques et sedisent-ils: "Ah, ce n´est déjà plus le petit nounours tout délicat, la petite poupée à dorloter." "Sarah se met à répondre à mon compagnon: "T´as rien à dire, t´es pas mon père." Pourtant, c´est lui qui l...

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