[Vidéo] L’attachement, essentiel pour le développement de l’enfant
Un entretien avec Christine Frisch-Desmarez, pédopsychiatre et psychanalyste. (03:41)
Un entretien avec Christine Frisch-Desmarez, pédopsychiatre et psychanalyste. (03:41)
Le Guardian se fait l'écho des propos d'un des plus célèbres spécialistes en neurosciences, le Dr Perry (Houston ChildTrauma Academy), qui s’interroge sur l’existence même du TDAH ou trouble de l’attention avec hyperactivité. Selon lui, il serait plus pertinent de considérer le TDAH comme un ensemble de symptômes, plutôt que comme un trouble à part entière.
Trancher une fois pour toute l’hébergement de l’enfant lors de la séparation ne tient pas compte du fait qu’il grandit et que ses besoins évoluent. Aussi un principe de progressivité doit intervenir notamment en fonction de son âge.
Dépliant à imprimer téléchargeable sur cette page.
Très tôt, le bébé tisse plusieurs liens d’attachement avec son entourage, mais une figure privilégiée se détache cependant et lui assure un sentiment de sécurité plus fort. La permanence de cette personne lui sera indispensable au cours des premiers mois.
Un texte paru initialement dans La Libre
Un entretien avec Christine Frisch-Desmarez, pédopsychiatre et psychanalyste. (02:36)
Un entretien avec Christine Frisch-Desmarez, pédopsychiatre et psychanalyste. (05:28)
Un entretien avec Christine Frisch-Desmarez, pédopsychiatre et psychanalyste. (03:43)
Un entretien avec Christine Frisch-Desmarez, pédopsychiatre et psychanalyste. (03:41)
Un entretien avec Christine Frisch-Desmarez, pédopsychiatre et psychanalyste. (03:29)
Un entretien avec Christine Frisch-Desmarez, pédopsychiatre et psychanalyste. (02:32)
Les besoins de continuité et de permanence du nourrisson excluent la garde alternée, de même que les nuits à l’extérieur. En effet, particulièrement durant les périodes d’endormissement, le bébé a besoin de sa mère à titre de figure d’attachement première, rassurante, sécurisante.
Même si l'enfant est capable de comprendre et de s'exprimer avec des mots, il est toujours nécessaire d'assurer une continuité chez lui. Des contacts fréquents avec le parent absent, des temps de vacances un peu plus longs permettront à l'enfant d'investir différemment chaque parent.
Entre 6 et 12 ans, l’enfant est sans doute le plus apte à supporter un hébergement alterné. Cependant, des conditions restent nécessaires : proximité géographique, proximité de l'école, absence de conflictualité entre les deux parents... Le sentiment de loyauté présent dans l'esprit de l'enfant donne également une teinte particulière à cette période.
Un entretien avec Christine Frisch-Desmarez, pédopsychiatre et psychanalyste. (03:03)
Christine Frisch-Desmarez (02:32), pédopsychiatre, déplie les particularités du calendrier de Brazelton qui offre un point d'appui pour penser les modes de garde, en fonction de l'âge de l'enfant. Pour les tout-petits, le besoin de stabilité, de sécurité étant primordial, il suggère un lieu d'hébergement principal et des temps avec l'autre parent les plus fréquents possibles.
Un entretien avec Christine Frisch-Desmarez, pédopsychiatre et psychanalyste. (03:17)
Un entretien avec Christine Frisch-Desmarez, pédopsychiatre et psychanalyste. (03:53)
Un entretien avec Christine Desmarez, pédopsychiatre et psychanalyste. (03:32)
Un entretien avec Christine Frisch-Desmarez, pédopsychiatre et psychanalyste. (02:55)
Brezelton est un psychiatre américain qui a proposé un système de garde, lors de séparation parentale, qui évolue en fonction de l'âge de l'enfant. Ces recommandations ont fait l'objet de remaniements mais permettent de penser un fonctionnement de garde alternée progressif qui tient compte des besoins du jeune enfant.
Entre 0 et 2 ans : Privilégier un lieu unique d'hébèrgement, en maintenant les liens avec l'autre parent au travers de visites régulières en journée.
Entre 2 et 3 ans : Maintien du lieu...
Un entretien avec Christine Frisch-Desmarez, pédopsychiatre et psychanalyste. (06:25)
Un entretien avec Christine Frisch-Desmarez (04:34), pédopsychiatre et psychanalyste.
Parfois, des accusations sont lancées facilement, sur des bases très fragiles. Certaines allégations, manifestement fausses, visent à porter atteinte à une personne. D'autres émanent de parents inquiets d'une éventuelle maltraitance. Il faut parfois "fermer les portes" pour que cela ne circule pas trop vite, ni trop fort, les investigations répétées n'étant pas la meilleure des choses pour l'enfant.
Comment expliquer qu'une maman puisse ne pas protéger ses enfants ? Certaines mères se trouvent dans une situation de dépendance affective et/ou matérielle à l'égard du conjoint ou du compagnon maltraitant. Souvent aussi, une enfance douloureuse amène des femmes à opèrer une sorte de 'classement' pour ne pas affronter la réalité. Il existe également des mères peu protectrices, ou encore manipulables et manipulées ...