Professionnels

[Vidéo] En quoi l’activité en extérieur soutient le développement de l’enfant ?

Le dehors est un terrain d'expériences sensori-motrices inépuisables pour l'enfant, il y vit moins de contraintes, de règles et peut y faire tellement de choses : sauter, courir, crier, s'émerveiller, chipoter, observer..., déplie Marie Masson (06:25), licenciée en psychologie, formatrice au Fraje. Il va y faire des expériences qui connectent son cœur, son corps et son esprit. Lorsqu'il est dehors, il fait des apprentissages sur lui et sur le monde et développe sa curiosité, [Lire la suite

[Vidéo] Introduire l’enfant au dehors, un besoin vital à l’enfance

Marie Masson (05:55), licenciée en psychologie, formatrice au Fraje explique combien les enfants passent de moins en moins de temps dehors, même moins que les prisonniers pour certains, et ce pour diverses raisons : sentiment d'insécurité de la part des adultes, omniprésence des écrans... On parle d'une génération d'enfants d'intérieur, élevés hors sol. Lorsque le dehors est accessible, [Lire la suite

[Vidéo] Jouer dehors, un chemin bénéfique pour l’enfant plus agité

Marie Masson, psychologue, souligne l'importance de bouger qui caractérise le monde de l'enfance. Pour grandir, se concentrer, l'enfant mobilise sa motricité. L'agitation de l'enfant est toujours à considérer comme un signal qui appelle a minima à faire une pause, à s'aérer, à jouer pour tout enfant et particulièrement pour l'enfant plus agité ou hyperactif. Or, un environnement trop contraignant qui empêche l'enfant de bouger, les écrans, la course de la vie [lire la suite]...

[Vidéo] Réunion d’équipe : soutenir la parole pour élaborer ensemble des ressources

Pascal Kayaert (03:26), travailleur social¸ directeur de Télé-Accueil Bruxelles, insiste ici sur l’exigence des réunions d'équipe comme espace d’élaboration et non seulement comme des temps d’organisation pratique. Ces temps de partage en équipe doivent soutenir une culture de travail commun, un soutien au professionnel qui par ailleurs agit seul, prend des décisions en appui sur une parole d’équipe.  [Lire la suite

« Résilience » ou la lutte pour la vie

(...) L'idée de quelque chose qui résiste aux pressions sans trop se déformer ou en pouvant retrouver sa forme, un peu comme un ressort, existe aux Etats-Unis depuis longtemps. Paul Claudel écrit d'ailleurs dans L'Elasticité américaine : « Il y a dans le tempérament américain une qualité que l'on traduit là-bas par le mot resiliency, pour lequel je ne trouve pas en français de correspondant exact, car il unit les idées d'élasticité, de ressort, de ressource et de bonne humeur . »

Nommer un enfant mort né

La mort d'un enfant pas encore né est un évènement particulier du fait, notamment, de l'absence de vie, du manque de souvenirs, de l'annulation de tout futur possible... et aussi du déni social face à ce non-évènement.
Le travail de deuil sera différent pour chacun, compte tenu de la place de que cet enfant non-né aura pris : un bébé, un fœtus voire un morceau de chair.

La Coordination de la prévention de la maltraitance

Le 23 novembre 2016 (publié au Moniteur le 18 janvier 2017), un  Arrêté du Gouvernement déploie un double objectif dans le cadre de la prévention de la maltraitance. Tout d’abord ; préciser et ancrer le champ d’action de la Coordination de la prévention dans un programme transversal. Et articuler dans un plan coordonné, nommé le Plan de prévention triennal de la maltraitance, les divers programmes : le programme transversal de Yapaka et ceux propres à chaque administration. [Découvrir ce nouveau cadre donné à la prévention de la maltraitance et l'Arrêté qui l'institue

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